« Au début de la série, notre avantage numérique fonctionnait bien », a noté l'attaquant des Blue Jackets Nick Foligno. « Nous marquions beaucoup de buts et pour une raison ou une autre, ça s'est arrêté. Nous devons comprendre pourquoi. C'est quelque chose qui fait en sorte que tu gagnes des matchs de hockey quand tu n'es pas à ton mieux. »
3. Pas d'espace pour la première unité
L'unité principale des Blue Jackets composée de Panarin, Pierre-Luc Dubois et Atkinson a amassé 14 points (cinq buts, neuf assistances) dans les trois premières parties, mais un seul point - un but de Dubois dans le match no 6 - dans les trois dernières rencontres.
Les défenseurs de Washington Dmitry Orlov et Matt Niskanen ont étroitement surveillé Panarin.
« Je sentais qu'il y avait toujours quelqu'un près de moi, particulièrement en avantage numérique », a dit Panarin à l'aide d'un traducteur après le match no 6.
4. Jouer du hockey de rattrapage
Durant la saison régulière, Columbus a tiré beaucoup de fierté de venir de l'arrière, particulièrement lors d'une séquence de 10 victoires de suite dans la dernière ligne droite.
Cette stratégie n'a pas fonctionné contre les Capitals, qui ont marqué en premier dans cinq des six parties. Les Blue Jackets ont eu l'avance pendant seulement 20 :47 dans la série.
« Ça gruge beaucoup d'énergie », a avoué le défenseur Seth Jones. « Nous l'avons fait toute l'année. C'est comme ça que nous avons atteint les séries, en jouant en tirant de l'arrière pendant les deux derniers mois de la saison. »
« Nous avons pris des risques et ils nous ont fait payer. C'est ce qu'une bonne équipe est capable de faire. C'est difficile de puiser l'énergie pour venir de l'arrière de deux ou trois buts chaque match. »
5. Qu'en est-il de Bob?
Le gardien Sergei Bobrovsky a réalisé plusieurs arrêts spectaculaires en plus d'offrir aux siens une sortie de 54 arrêts dans le match no 2 pour compenser une défensive poreuse, mais il a accordé trop de buts faciles.