L'attaquant russe arborait un large sourire en début de soirée samedi au moment de se présenter devant les journalistes avec son chandail rouge arborant le 17 sur le dos, moins de deux heures avant l'affrontement du CH contre les Penguins de Pittsburgh.
« Je suis très heureux d'être à Montréal », a-t-il lancé d'entrée de jeu et en français SVP, en jetant un regard sur son téléphone portable.
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Kovalchuk a mentionné qu'il vivait d'espoir de recevoir l'appel d'une équipe depuis que les Kings de Los Angeles ont rompu leur association avec lui le 17 décembre.
« J'étais à Miami avec mon préparateur physique depuis ce temps et je patinais tous les jours », a-t-il expliqué. Je m'appliquais à garder la forme et je laissais mon conseiller s'acquitter de sa tâche. »
Le patineur natif de Tver, âgé de 36 ans, s'est montré évasif sur plusieurs sujets, entre autres à savoir si d'autres équipes de la LNH ou même de la KHL avaient manifesté de l'intérêt à son endroit.
« Il faudrait demander à mon agent, a-t-il dit. La KHL est toujours une option, mais je suis heureux d'être ici et c'est tout ce qui compte », a-t-il ajouté plus tard.
Le premier choix au total du Repêchage 2001, réclamé par les défunts Thrashers d'Atlanta, s'est fait clair sur une chose cependant : il n'était absolument pas prêt à se résoudre à accrocher ses patins.
« La retraite, moi? Non ce n'est pas du tout dans mes plans », a-t-il réagi.
Quand on lui a demandé combien de temps il désirait continuer à jouer, il a répondu : « Je veux simplement jouer lundi et on verra partant de là ».
« Ma volonté de poursuivre n'a rien à voir avec l'argent », a insisté celui qui a accepté un contrat du Tricolore à deux paliers de salaire (700 000 $ dans la LNH et 70 000 $ dans la Ligue américaine) pour finir la saison.