Les attentes sont élevées envers les Oilers Edmonton. Le club s'est enfin qualifié pour les séries éliminatoires au printemps dernier, et le DG, Peter Chiarelli, a acquis nombre de vétérans depuis son entrée en poste. De plus, c'est la dernière saison où Connor McDavid ne coûtera pas une tonne de fric, ce qui ajoute à l'urgence de gagner : l'an prochain, déjà, on va devoir remanier pour accommoder le salaire du capitaine.
Dans ce contexte, une seule victoire en cinq matchs est un départ pour le moins consternant. Si ce genre de situation arrive en milieu de saison, on parlera de mauvaise passe, de glissade ou encore de fatigue. Mais en début de campagne, tout ça prend une importance parfois démesurée.
Bouchard : Les Oilers déçoivent, mais la patience est de mise
Notre chroniqueur analyse les données afin d'expliquer le mauvais départ d'Edmonton


