« Dans un marché comme celui de Montréal, ces histoires sont souvent amplifiées », a-t-il commencé par dire, avant de continuer : « J'adore mes joueurs, j'ai une relation particulière avec chacun d'entre eux. Est-ce que je peux tous leur faire plaisir, non c'est impossible. Si c'était le cas, je ferais mal mon travail. Un coach, c'est comme un père de famille. Un père, de temps à autre, doit dire à ses enfants : "Assez c'est assez!" Ça ne veut pas dire qu'il ne les aime pas. Au contraire, c'est parce qu'ils les adorent. Les parents vont comprendre ce que je veux dire. "Coacher" c'est la même chose. L'objectif numéro un de l'entraîneur, c'est de soutirer le maximum des joueurs. C'est ce que nous faisions avec P.K. et il s'améliorait à chacune des saisons.