« J’aurais aimé voir Quinn au sein de notre équipe, il est l’un des meilleurs défenseurs au monde et il aurait grandement aidé, a raconté Werenski. Quand j’ai appris qu’il devait renoncer au tournoi, je m’attendais à jouer un rôle encore plus important. Je veux saisir cette occasion et jouer du mieux possible. Nous venons de jouer un bon match. J’étais heureux de ma rencontre. Mais nous devons maintenant penser au Canada et à la Suède pour nos deux prochaines rencontres. »
En deuxième période, Sullivan a jonglé avec ses trios à l’attaque en réunissant les frères Matthew et Brady Tkachuk en compagnie de Jack Eichel et en reléguant Kyle Connor à l’aile gauche du troisième trio avec J.T. Miller et Matt Boldy. À la ligne bleue, l’entraîneur en chef de l’équipe américaine a également modifié deux de ses trois duos en plaçant Jaccob Slavin avec Brock Faber et Noah Hanifin avec Adam Fox.
Sullivan a gardé un seul duo intact, celui de Werenski et McAvoy.
Werenski a pris la route de Montréal pour cette Confrontation des 4 nations en parfaite confiance. En 55 matchs cette saison à Columbus, le défenseur de 27 ans a amassé 59 points (17 buts, 42 passes) en plus de jouer près de 27 minutes (26:53) en moyenne par rencontre.
Deux vilains
Dans l’ombre des frères Tkachuk pour ce premier match, Werenski a rendu hommage à ses deux coéquipiers.
« Je n’étais pas surpris du jeu de Matthew et Brady, a-t-il reconnu. Ils sont deux gros attaquants avec de bonnes habilités et une grande intensité. Ils jouent de la bonne façon.
« C’est déstabilisant quand tu joues contre un seul frère Tkachuk dans la LNH, a-t-il poursuivi. Je ne peux même pas imaginer quand tu dois en affronter deux au sein de la même équipe. Et deux au sein d’un même trio. »