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Drew Bannister sera candidat pour le poste d’entraîneur des Blues de St. Louis et il figure au sein d'une liste qui « n’est pas très longue », a révélé le directeur général Doug Armstrong.

Bannister a conservé un dossier de 30-19-5 après avoir remplacé Craig Berube, qui a été congédié le 14 décembre. Bannister avait été nommé entraîneur par intérim à ce moment-là.

Les Blues ont terminé la saison avec un dossier de 43-33-6, mais ils vont rater les séries éliminatoires de la Coupe Stanley pour une deuxième saison consécutive.

« J’ai parlé à Drew dans la dernière semaine et je lui ai dit qu’il sera candidat pour le poste d’entraîneur-chef, a dit Armstrong. Je trouve que dans le cadre du processus, il est nécessaire de rencontrer quelques personnes. Mais ce que je lui ai dit est que lorsque nous avons procédé au changement d’entraîneur, j’ai créé une longue liste de candidats, mais qu’en le voyant derrière le banc et en étant témoin des performances de notre équipe, j’ai commencé à retirer des noms de cette liste. Aujourd’hui, Drew est l’une des quelques personnes à qui je veux encore parler avant de prendre une décision.

« J’ai trouvé qu’il a fait du très bon travail. Il a trouvé le juste équilibre entre aligner la meilleure équipe chaque soir et placer de jeunes joueurs dans des situations qu’ils n’ont jamais vécues auparavant. Il a vécu avec les résultats. C’est de cette façon que tu progresses. »

Armstrong a ajouté qu’il est ouvert à faire signer une prolongation de contrat à l’attaquant Pavel Buchnevich.

Le joueur de 29 ans, qui a récolté 63 points (27 buts, 36 passes) en 80 matchs cette saison, va amorcer la dernière saison d’un contrat de quatre ans et 23,2 millions $ (salaire annuel moyen de 5,8 millions $) la saison prochaine.

« Nous allons en discuter avec lui, a mentionné Armstrong. J’aime beaucoup Pavel. […] J’aimerais qu’il reste ici. Je dois lui vendre le pourquoi, puis je pense que nous devons nous convaincre d’être à l’aise d’être inconfortables avec les modalités financières d’une potentielle entente. Mais j’adore Pavel. »

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