« On a discuté un peu et on m'a demandé si j'étais partant pour essayer [de jouer à gauche]. J'ai répondu que, si je me joignais à l'équipe, je serais partout pour jouer de la façon et du côté qu'ils le souhaitaient pour qu'on ait la meilleure chimie possible. Donc, on verra ce qui arrivera. »
Au sujet de la pression du marché montréalais :
« C'est très excitant. En quittant LA pour Vancouver, j'ai l'impression d'avoir eu un avant-goût de la pression et du marché. Mais Montréal, c'est une bête différente, et c'est excitant. Tu veux briller dans des moments comme celui-là, et je suis vraiment excité par l'occasion qui se présente. Je veux être un gars à qui l'on peut se fier pour marquer ou faire le bon jeu au bon moment. »
À propos de son jeu défensif et de l'utilisation de son expérience en séries (Toffoli a remporté la coupe Stanley avec les Kings de Los Angeles en 2014) pour guider ses nouveaux coéquipiers vers un championnat :
« C'est l'une des choses chez moi dont je suis fier. En commençant dans la Ligue avec LA, la façon dont on jouait... si tu ne jouais pas de la bonne manière, tu ne jouais pas du tout. Donc, c'est le genre de choses que j'essaie d'amener partout où je vais. J'ai l'impression que tout le monde le voit en moi, dorénavant. »
« C'est en jouant de la bonne façon que tu gagnes des matchs. Tu ne marqueras peut-être pas tous les soirs, mais si tu joues de la bonne manière et que tu gagnes des matchs, il n'y a pas de meilleur sentiment. Gagner la coupe Stanley, il n'y a rien qui peut se comparer à ça. Donc, je veux revenir à ce niveau, aider les jeunes, et amener une coupe Stanley à Montréal. »
Bergevin explique pourquoi il souhaitait amener Toffoli à Montréal :
« Oui, on a eu des discussions à l'interne pour Tyler. Ce que j'aime, c'est que c'est un joueur qui a remporté une coupe Stanley, qui joue à toutes les positions -- à droite, à gauche --, sur le jeu de puissance, il tue des punitions et c'est un joueur qui amène du leadership. Alors, à notre groupe de jeune joueur, on intègre un gars qui a de l'expérience, puis je vois aussi un joueur qui peut produire offensivement. »
Le DG du Tricolore a reconnu qu'il avait quatre besoins à combler lors de la saison morte : un gardien auxiliaire, un défenseur d'envergure, un attaquant de puissance et une capacité à marquer des buts. Bergevin décrit comment les Canadiens en sont venus à répondre à ces besoins :
« Avec toutes les choses disponibles, on a fait de gros changements, on a amené [grosseur et production offensive]. On avait environ quatre cases à cocher et on l'a fait. Dans l'ensemble, on est satisfaits de notre équipe aujourd'hui et, même sans connaître la date de début de la prochaine saison, on est tellement excités et j'espère que nos partisans le sont aussi. »