Selon l'ancien défenseur de la LNH, le message de Stephanie repose essentiellement sur la communication.
« Tout est question de conversation, d'ouverture de discussion avec vos enfants, puis d'écoute et de dire: « Je suis là pour toi. Je comprends. Je me sentais comme ça à ton âge. » Pour les enfants, ça pourrait être avec leur frère ou sœur, leur conseiller en orientation de l'école, leur entraîneur de hockey ou enseignant. Ça pourrait être avec n'importe quelle personne avec qui ils se sentent à l'aise. Je pense que l'aide grandit à partir de là. C'est pourquoi nous essayons de faire passer le message aux jeunes », a mentionné Richardson. « C'est une conversation que vous devez laisser ouverte. Les enfants veulent que vous sachiez ce qu'ils ressentent et veulent se sentir soutenus. Je pense que c'est notre plus grand message. »
Et plus tôt que les jeunes savent que de l'aide est disponible, mieux c'est, a rajouté Richardson.
« C'est bien pour tout le monde de se sentir bien, d'être soutenu et de ne pas se sentir seul », a conclu l'entraîneur originaire d'Ottawa, âgé de 49 ans. « Plus tôt vous transmettez ce message aux jeunes, ils le savent et peuvent poser des questions, obtenir des informations et de l'aide pour résoudre le problème. »
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