MONTRÉAL - À quelques occasions depuis le début de l’année, Les Nets de Long Island de la NBA G League ont élu domicile à la Place Bell.
BILLETS : Le Hustle de Memphis c. Les Nets les 13 et 14 mars 🎟️
« Les Nets », nom qu’ils ont adopté pendant leur passage au Québec, ont joué quatre matchs en janvier et en février dans l’amphithéâtre du Rocket de Laval. Leur séjour de six matchs prendra fin les 13 et 14 mars, alors qu’ils affronteront le Hustle de Memphis (le club-école des Grizzlies de Memphis) lors de deux matchs en deux soirs.
Le temps qu’ils ont passé dans la Belle Province a été marqué par deux nouveaux records de franchise au chapitre de l’assistance à domicile, les 24 janvier et 26 janvier contre les Raptors 905, alors que plus de 15 000 partisans ont été dénombrés dans l’assistance à la Place Bell pour les deux matchs combinés. L’attaquant des Canadiens Emil Heineman a eu la chance d’aller voir l’avenir de la NBA en action, le 5 février contre le Swarm de Greensboro, et l’équipe de contenu du Tricolore s’est entretenue avec le numéro 51 pour en apprendre plus sur son expérience.
Veuillez noter que les questions et les réponses ont été modifiées à des fins de clarté et de concision.
Comment décrirais-tu ton expérience au match des Nets?
C’était génial! J’assistais à mon premier match de basketball, alors je n’avais pas d’attentes, n’ayant jamais vécu l’expérience auparavant. Mais c’était vraiment cool. La foule était enthousiaste. Je joue un peu au basketball l’été, et c'était cool de voir à quel point [les joueurs] sont talentueux. C’était un bon match, aussi. Ils ont égalisé à la fin et tout le monde est devenu fou. C’était une expérience incroyable.
Qu’as-tu pensé du niveau de talent?
C’était vraiment cool à voir, en fait. Les joueurs étaient vraiment bons. C’était intéressant de voir tout ce qu’ils font sur le terrain. C’était vraiment impressionnant. J’étais assis le long du terrain et c’était génial de voir le jeu d’aussi près. L’expérience était incroyable. C’était vraiment cool.
La NBA G League est une ligue de développement, au même titre que l’AHL l’est pour la LNH. Dirais-tu que le niveau de compétition sur le terrain est semblable à ce que tu as vécu avec le Rocket de Laval?
Je dirais que oui. C’est assez semblable. Tu peux voir à quel point ils essaient de compétitionner pour se faire connaître et montrer ce qu’ils peuvent faire. Je peux me mettre dans leur peau. Le niveau était très bon et on voit qu’ils veulent passer au niveau supérieur.
Évidemment, Montréal et Laval sont d’abord et avant tout reconnus comme étant des villes de hockey, mais il semble qu’il y ait un réel engouement pour ce genre de matchs de basketball. Peux-tu nous parler de l’atmosphère qu’il y avait à la Place Bell pour le basketball?
Je n’étais pas certain de ce à quoi m’attendre au début, mais vers la fin, l’ambiance était comme celle d’un match de hockey. C’était pratiquement la même chose. [La foule] était énergique et les gens huaient quand il y avait des lancers francs. Ils huaient quand l’autre équipe lançait le ballon et, ouais, c’était une belle expérience.
Recommanderais-tu la NBA G League à des partisans des Canadiens qui n’ont pas encore assisté en personne à un match?
Absolument. Il y avait vraiment beaucoup de monde, et l’expérience et l’atmosphère étaient incroyables. C’était un bon match. On était vraiment enthousiastes quand on est arrivés. Le match ne nous a pas déçus, alors c’était génial.
