Les joueurs savent que les trios formés à l'entraînement à ce stade-ci du camp ne sont pas nécessairement ceux qui seront en action lors du premier match de la saison.
«Les trios vont changer au cours de l'année, mais je pense que pour nous, les joueurs, c'est important de prendre ça un jour à la fois. Pour le moment, je suis content de jouer avec ces deux gars-là. Regardez le talent qu'ils ont tous les deux. Patch, c'est le patin, son tir, la façon qu'il trouve les ouvertures, la manière d'attirer l'attention sur lui, a analysé Gallagher.
«Même chose avec Drouin, le calme qu'il garde en transportant la rondelle du milieu jusqu'aux petits espaces qu'il trouve, ça rend vraiment mon travail plus facile - celui de me rendre au filet», a ajouté le numéro 11.
Julien a répété lors de son point de presse que dans la Ligue nationale d'aujourd'hui, l'important est d'avoir de la profondeur. Il faut avoir quatre bons trios chaque soir pour espérer avoir du succès tout au long des 82 matchs de la saison.
Danault est du même avis que son entraîneur.
«Même avant le camp, Claude a dit qu'on aurait quatre excellents trios capables de marquer. Peu importe avec qui tu joues, c'est différent, mais ça revient au même au bout du compte. C'est amusant d'expérimenter ces choses pendant le camp et s'adapter à ce qu'il veut», a affirmé le jeune joueur de centre.