Sur le fait de voir Bobby Clarke comme une inspiration :
En étant diabétique de type 1, chaque jour est une bataille, dans une certaine mesure. Mais quand je pense à quelqu'un comme lui, qui vivait avec ça, avant toute la technologie qu'on connaît aujourd'hui, je me demande vraiment comment il a fait et j'ai beaucoup de respect pour lui. Quand tu vis avec ça tous les jours, tu sais ce que c'est. La première question que j'ai posé [quand on m'a diagnostiqué] était de savoir si je pouvais encore jouer au hockey. Dès qu'ils ont dit oui, rien d'autre ne m'a vraiment déconcerté. Quand vous avez un gars qui l'a fait avant, bien avant votre temps, et que vous avez quelqu'un à qui vous confier, un gars qui vous a ouvert la voie, il est beaucoup plus facile d'y arriver.
Sur la possibilité de voir son père, l'ancien des Maple Leafs Tie Domi, dans un chandail des Canadiens :
Je vais essayer de prendre au moins une photo avec lui un dans un des premiers matchs ici à Montréal. Si vous aviez dit à quelqu'un, il y a cinq ou dix ans, que Tie Domi allait être un partisan des Canadiens de Montréal, il vous aurait traité de fou. Mais je suis son fils, et je représente l'une des franchises les plus légendaires du sport, et il est maintenant le plus grand fan des Canadiens au monde.
Sur le fait d'utiliser les bâtons de son père lorsqu'il était plus jeune :
Il était un droitier, alors je n'ai pas utilisé ses bâtons. Sa courbe était terrible, de toute façon. C'était comme une pelle. C'était plus un bâton de «dump-and-chase»!