Êtes-vous toujours en contact de nos jours?JP : Oui nous le sommes. J'aime bien voir Mitchy lorsqu'on s'affronte. On s'envoie des textos et on s'appelle de temps en temps. Malheureusement, on ne passe plus autant de temps ensemble qu'auparavant. Mais c'est toujours amusant de se revoir. Il est le genre de gars que même si on ne se voit pas pendant six ou sept mois, on peut reprendre exactement là où on avait laissé.
Vous êtes tous les deux mariés et avez de jeunes enfants. Est-ce que vos conversations ont changé avec le temps? Parlez-vous plus de couches maintenant?JP : Un peu. On est à un stade différent de nos carrières et de nos vies et c'est toujours bien d'avoir de ses nouvelles. Il a une belle famille et je suis heureux que ça aille bien pour lui à Montréal.
Torrey et toi étiez cochambreurs sur la route au cours de vos premières années avec les Sharks, n'est-ce pas? Quel genre de coloc était-il?JP :Il était excellent. Il faisait beaucoup de blagues et jouait beaucoup de tours. Il y en a eu quelques bons. (rires)
Vous battiez-vous souvent pour la télécommande? Qui l'emportait la majorité du temps?JP : (rires) Il était ma télécommande! Je le faisais lever de son lit pour qu'il change de poste avec ses doigts.
Vous étiez deux jeunes joueurs au sein d'une équipe remplie de vétérans à vos débuts dans la LNH. Avez-vous déjà été dans le trouble avec les vétérans?JP : Je crois qu'à quelques occasions c'est arrivé, mais on était plutôt bons. Étant un peu plus vieux maintenant et en repensant à ces moments, on apprécie ce qu'on a vécu en compagnie des vétérans et comment ils nous ont pavé la voie.