«Je me suis toujours concentré à faire bouger la rondelle et à laisser les attaquants faire le reste.»
En d'autres mots, le vétéran de 10 saisons dans la LNH prévoit jouer le plus intelligemment possible dans ce troisième duel d'une série de quatre entre les deux rivaux de section cette saison.
L'expérience a démontré au natif de Burnaby, en Colombie-Britannique, que c'est la meilleure manière de faire dans ces conditions météorologiques - et des conditions glaciales - qui sont tout simplement hors du contrôle des joueurs.
«Je me souviens qu'il pleuvait lors de la première à Pittsburgh. Tout le monde sait ce que l'eau fait sur la glace. La rondelle s'arrêtait tout le temps partout, s'est rappelé Alzner, qui avait passé 24 min 25 s sur la glace dans une victoire de 3 à 1 au domicile des Steelers de Pittsburgh.
«À Washington, toutefois, c'était tellement ensoleillé que je pouvais à peine voir sur la patinoire. Il faisait chaud, alors la température n'était pas un problème, mais personne ne pouvait voir quoi que ce soit en première période à cause du reflet sur la glace.»
Si l'on se fie aux prévisions actuelles pour la région d'Ottawa, Alzner devrait vivre le premier match extérieur au grand froid de sa carrière, ce qui lui convient parfaitement. En fait, ça rendrait son expérience encore plus mémorable.