Le vétéran de six saisons dans la LNH ne s'attend pas non plus à ce que la communication avec Romanov représente un problème lors des situations de match.
Les deux hommes ont travaillé fort sur cet aspect du jeu lors des entraînements et des matchs intraéquipe pour s'assurer qu'il n'y ait pas de barrière linguistique.
« Je pense que ça va prendre un peu de temps. On doit communiquer davantage, mais je ne pense pas que ce soit une mauvaise chose. J'ai remarqué qu'il est très vocal sur la glace et qu'il est facile de l'entendre. Il demande la rondelle et c'est quelque chose d'important. On travaille sur cet aspect du jeu lors des entraînements », a expliqué Kulak. « On discute beaucoup lors des entraînements. Mais je suis vraiment impressionné par la façon dont il comprend les choses et par la qualité de son anglais. Il fait bien. »
Sur une note plus personnelle
Le fait d'évoluer aux côtés de Romanov n'est pas la seule chose qui fait sourire Kulak ces jours-ci.
Il se sent en confiance, notamment grâce à ses performances lors des séries éliminatoires. Lors de sa première présence en séries, Kulak a récolté trois mentions d'aide en 10 matchs l'été dernier.
En participant aux séries, il a appris de précieuses leçons qui lui serviront dans l'avenir.
« Je pense que lors des séries, le jeu devient plus simple, plus difficile, plus rapide et plus dur. C'est ce dont je me souviens. J'ai simplifié mon jeu », a expliqué Kulak, qui a été utilisé environ 18min33s par match en séries. « Je faisais le jeu facile et cela m'a permis de ralentir le jeu et de simplifier les choses pour moi. J'ai réussi à avoir du succès et je veux en tirer profit. »