« Mais j'ai un préjugé favorable pour 'Chucky' parce que j'ai assisté à son arrivée dans la LNH à l'âge de 18 ans et que j'ai vu ce qu'il pouvait faire. Je crois que son potentiel n'a pas de limites. »
Subban n'a pas voulu se prononcer pour ce qui est de savoir justement si on s'y était pris de la bonne façon afin de maximiser son potentiel chez le CH.
« Je ne sais pas, je ne répondrai pas à ça, a-t-il répondu. Dans le moment, l'important pour lui c'est d'aller de l'avant. Comme pour moi, quand j'ai été échangé, il n'y a rien qu'il puisse faire. Il doit envisager l'avenir avec sa nouvelle équipe. C'est le conseil que je lui donnerais. 'Chucky' est un professionnel. Rendu à son âge, il comprend qu'il doit vite tourner la page et centrer ses efforts sur sa nouvelle équipe et poursuivre sa progression. S'il fait ça, il deviendra une supervedette dans la LNH. »
Keller attristé
Chez les Coyotes, l'attaquant recrue Clayton Keller a dit ne pas douter que Max Domi connaisse du succès avec le Tricolore.
Keller est un des finalistes pour le titre de joueur de première année par excellence en compagnie de Brock Boeser des Canucks de Vancouver et de Mathew Barzal des Islanders de New York. Il a raconté avoir été très attristé de voir partir son meilleur ami chez les Coyotes.
« C'est un des meilleurs coéquipiers que je n'ai jamais eus, a claironné l'Américain âgé de 19 ans. Il m'a pris sous son aile dès mon arrivée. Il m'a hébergé chez lui pendant les premières semaines du camp d'entraînement. Comme il est diabétique, il a un chef qui prépare ses repas et j'ai fini par aller manger chez lui toutes les journées de match. Nous étions comme des inséparables. Il m'a réellement aidé. »
Keller a minimisé le manque de production de Domi au cours de la saison dernière.