« Nous avons une excellente relation, a assuré Brodeur. Nous avons évidemment joué souvent l'un contre l'autre, et nous avons été coéquipiers aux Jeux olympiques de 1998, alors que [Roy] a disputé tous les matchs. Aux Jeux olympiques suivants (2002), il ne voulait pas jouer, et les gens se sont mis à penser que nous ne nous entendions pas, mais il n'est jamais arrivé que nous nous croisions dans une pièce sans nous arrêter pour nous parler, même quand on jouait. Je tentais de battre ses records, je l'ai surpassé, mais il est venu à Montréal et m'a serré la main lorsque j'ai égalé [son record de victoires]. Il est une très bonne personne, un gars très drôle, et aussi très compétitif.