Sur le vert avec Mike Cammalleri
par Staff Writer / Montréal CanadiensTout comme il est capable de mettre la rondelle au fond du filet, Mike Cammalleri se débrouille plutôt bien pour mettre la balle au fond de la coupe. Découvrez comment le nouvel as marqueur des Canadiens se défend avec un club dans les mains.
Nous avons entendu dire que tu es un « scratch golfer »? Est-ce vrai?
Je l’ai déjà été, mais je ne le suis plus. Je ne joue plus assez souvent. J’ai maintenant un handicap de cinq.
À quel âge as-tu commencé à jouer?
Vers l’âge de 10 ans.
Durant la saison morte, combien de rondes de golf joues-tu en moyenne par semaine?
Probablement deux ou trois, si c’est possible.
Quel est ton meilleur pointage à vie?
J’ai déjà remis une carte de 68. [NDLR : sous le regard suspicieux de Scott Gomez]. C’est vrai, j’ai des témoins! C’était dans un tournoi, que j’ai gagné d’ailleurs.
As-tu déjà réussi un trou d’un coup?
Oui, il y a deux ans en Californie. C’était un par 3 de 220 verges. J’avais alors utilisé un hybride numéro 3.
Quel est ton bâton favori?
Je contrôle très bien mes hybrides.
Quel club essaies-tu de garder dans ton sac le plus possible?
Les fers 3 et 4. J’aime mieux utiliser mes hybrides pour ces distances.
As-tu l’occasion de jouer dans des tournois de célébrités ou des Pro/Am?
Je devais participer au tournoi de Wayne Gretzky cette année, mais malheureusement, pour une raison ou une autre, je n'ai pas pu. J'étais très déçu.
Si tu avais la chance d’organiser ta journée de golf de rêve, qui inviterais-tu?
Fred Couples est mon golfeur favori et j’ai eu la chance de le connaître un peu, mais je n’ai jamais golfé en sa compagnie, alors il serait au sommet de ma liste. Tiger Woods serait là aussi, car il est mon deuxième golfeur favori et je demanderais à Stevie, son caddie, de venir avec nous pour obtenir son aide. Mon père ferait également partie de ce quatuor de rêve, car il faut absolument que tu partages une telle journée avec quelqu’un qui t’est cher. Je voudrais que l’on joue au club de golf où je suis membre, le National, dans le coin de Toronto. C’est un parcours assez difficile et je voudrais voir comment ils se débrouillent.
Alexandre Harvey écrit pour canadiens.com
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