Mon homme : Frédérike Bédard au sujet de Rafaël Harvey-Pinard 

MONTRÉAL - Plongez dans la vie des joueurs des Canadiens grâce à Mon homme, une série qui vous permet d’en apprendre plus sur l’homme qui se cache derrière l’athlète.

Plus tôt cette saison, l’équipe de contenu des Canadiens s’est entretenue avec Frédérike Bédard, la copine de Rafaël Harvey-Pinard, pour apprendre quelques faits intéressants et amusants sur le numéro 49 du Tricolore.

N.D.L.R. Veuillez noter que les questions et les réponses ont été reformulées à des fins de clarté et de concision.

Comment vous êtes-vous rencontrés?

Raf et moi venons du même coin. Ça fait longtemps qu’on se connaissait, puisqu’on côtoyait les mêmes amis. Puis, on s’est vu quand il est revenu après sa dernière année avec les Huskies de Rouyn-Noranda et tout de suite ç’a été comme un coup de foudre. Il n’y a pas eu de grosse rencontre officielle. On savait qui l’autre était, mais on s’est vu [plus officiellement] pour une première fois et ç’a bien cliqué.

Te souviens-tu de votre premier rendez-vous?

Il n’y a pas vraiment eu de première date. Je suis allée chez lui et on a eu une fin de semaine en famille, alors il a tout de suite été impliqué. Mon frère s’était fait repêcher par les Remparts de Québec cette même fin de semaine, donc tout le monde était là et il a rencontré ma famille.

Qu’est-ce qui t’a attirée en premier chez lui?

Je dirais son entregent, sa bonne humeur et sa facilité d’approche. Raf est quelqu’un de positif et, tout de suite, je me suis sentie à l’aise avec lui.

Qui cuisine le plus entre vous deux?

C’est assurément plus moi qui cuisine à la maison, mais il s’occupe du barbecue; c’est vraiment son domaine. Il a aussi une spécialité par contre : le poulet parmigiana. C’est un peu la blague dans la famille, parce que c’est SA recette.

Pendant la saison et durant l’été, comment est-il à la maison?

Il y a quand même une différence entre les deux. Pendant la saison, le stress est plus présent, il est plus occupé mentalement et il revient plus tard le soir. Je ne dirais pas qu’il est indépendant, mais il se concentre sur ses affaires. Mais, en même temps, Raf est très colleux. L’été, on n’arrête pas. On visite notre famille au Saguenay, on revient ici et, à travers ça, il s’entraîne, je m’entraîne au CrossFit, on s’occupe de notre chien... ça n’arrête pas.

A-t-il un talent caché? Nous avons entendu dire qu’il est très bon au ping-pong.

Oui, il est vraiment bon au ping-pong. Il a gagné le tournoi du Rocket sur la route, l’année passée. Il a une table chez ses parents depuis toujours.

Tu as mentionné plus tôt que tu pratiques le CrossFit. Est-ce que Rafaël vient s’entraîner avec toi pendant l’été?

La première année qu’on était ensemble, il est venu l’essayer avec moi une fois, mais ce n’était pas trop son style. En même temps, c’est ma passion et, lui, il a le hockey.

Rafaël est connu comme étant un joueur très compétitif. Qui l’est le plus entre vous deux?

Raf, assurément. [rires] Dans toutes les sphères de sa vie, même aux jeux de société, il est très compétitif.

Vous avez une chienne nommée Zoé. Qui de vous deux est le plus strict et qui est le plus permissif?

Je suis plus stricte et Raf est plus permissif, mais elle n’est pas pour autant plus attachée à l’un de nous en particulier. Peu importe qui se lève en premier le matin, elle va suivre.

Quelle est la plus grande qualité de Rafaël?

Raf est vraiment persévérant dans tout ce qu’il fait, même à l’école. L’année dernière, il avait encore un cours à l’université. C’est vraiment quelqu’un qui va au bout de ses choses. C’est quelqu’un de positif, de bonne humeur, qui est facile d’approche et très familial, aussi.

Quel est ton cadeau préféré qu’il t’a offert?

Un voyage dans le Sud avec des amis. Mais, des fois, on va quelque part et il me dit : « OK, je vais te payer un spa. » Donc ce ne sont pas des cadeaux spécifiques, mais plutôt plusieurs petites attentions qu’il a envers moi.

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