L'absence de Pacioretty et celle de Mete font en sorte que les deux vagues du jeu de puissance sont aussi chamboulées. Le nouveau venu Mike Reilly obtient la chance de montrer ce qu'il sait faire, lui qui est employé sur la première vague de l'avantage numérique en compagnie de Jeff Petry à la ligne bleue. Reilly a amassé quatre mentions d'aide en quatre parties avec le Tricolore depuis la transaction qui l'a amené à Montréal depuis le Wild du Minnesota, mais aucun de ces points n'a été récolté en supériorité numérique. On a aussi vu les jeunes Scherbak et Daniel Carr à l'attaque et Rinat Valiev en défense passer du temps sur le jeu de puissance, toujours au nom des expériences, mais les poolers ne doivent pas entretenir trop d'attentes de ce côté.
Charlie McAvoy, Bruins de Boston (au moins quatre semaines en date du 6 mars)
L'absence de McAvoy fait en sorte que les paires de défenseurs des Bruins ont dû être remaniées. La place de McAvoy aux côtés de Zdeno Chara à forces égales a été confiée à Brandon Carlo, et ce duo se verra confier des tâches plus résolument défensives. Torey Krug se retrouve quant à lui avec Nick Holden, qui représente de son côté une option intrigante pour les poolers. Aux côtés de Krug, il amorcera la majorité de ses présences en zone offensive, et il va de plus hériter des miettes que Krug va lui laisser sur la deuxième vague de l'avantage numérique. Holden a amassé trois points en trois matchs, dont deux en avantage numérique. Il ne faut pas oublier que Holden a récolté 34 points pas plus tard que la saison dernière avec les Rangers, il n'est donc pas dépourvu de flair offensif.