Ce qu'ils ont dit
« Ç'a été une longue journée, pas nécessairement la meilleure des choses. Nous sommes arrivés tôt au stade et nous n'avons pas eu de séance d'entraînement d'avant-match. Les gars s'échauffaient avant de sauter sur la glace et il y a eu le délai. J'ai fait une sieste et pris une bouchée. J'ai dû m'échauffer trois fois avant la vraie période de réchauffement sur la glace. » - L'attaquant des Jets Mathieu Perreault
« Nous avons commis trois revirements évidents, et le résultat a été percutant. Nous voyons trop souvent ça en début de saison. J'ai bien apprécié notre début de match. Nous avons eu trois excellentes occasions de marquer. On dirait que nous avons souvent raté la cible. Peu importe quand vous commettez des revirements, sur une bonne ou une mauvaise glace, la rondelle se retrouve habituellement dans votre filet. » - L'entraîneur des Jets Paul Maurice
Ce qu'il faut savoir
L'équipe hôte a rarement le meilleur dans les matchs en plein air. Seulement cinq ont signé la victoire en 19 occasions.
C'est loin d'être une coïncidence, selon l'entraîneur des Oilers Todd McLellan.
« C'est plus facile d'être l'équipe visiteuse, a-t-il opiné. C'est ma deuxième expérience et la première fois à l'étranger (Les Sharks qu'il dirigeait avaient subi la défaite contre les Kings de Los Angeles en février 2015). L'équipe hôte doit composer avec l'atmosphère de cirque qui entoure souvent ces événements. Les distractions sont nombreuses. Je suis sûr que ç'a à voir. Si on me disait que nous deons jouer un autre match en plein air, je souhaiterais être l'équipe visiteuse. »
Pour Paul Maurice des Jets, le fait que l'équipe hôte tente peut-être davantage de donner un spectacle est peut-être une partie de l'explication.
« La pression n'est absolument pas un facteur », a ajouté l'entraîneur.
La suite
Jets :À Dallas contre les Stars, mardi (20h30 HE; FS-SW, TSN3).
Oilers : Accueillent les Capitals de Washington, mercredi (21h30 HE; SN360, SN1, SNO, SNW, CSN-DC).