Killorn discute de la signification de ces deux victoires, de l'impact de Patrick Maroon, qui a récolté deux buts, du partage incroyable de cette expérience avec le défenseur suédois Victor Hedman et des souvenirs qu'il va conserver de cette semaine en Suède.
Quelle chance de pouvoir jouer ce match! Je crois que c'est un des premiers matchs cette saison où nous avons vraiment pris le contrôle et eu une avance de plus d'un but. Ça fait du bien.
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Je suis vraiment content de la façon dont nous avons joué en troisième. Buffalo a eu le dessus lors de la deuxième, et il nous a fallu du bon travail du gardien Curtis McElhinney pour nous garder en avant. Mais je suis vraiment satisfait de la façon dont on a contrôlé le jeu en troisième période.
Quel match pour Pat Maroon et son trio ce soir. Ils ont bien joué dans les deux rencontres, en fait. C'était génial de voir Pat jouer un match comme celui-là. Je sais qu'il n'avait qu'un but cette saison, mais je ne pense pas que c'est parce qu'il éprouvait quelconque difficulté. Il a reçu un coup à la tête contre New York et a dû manquer quelques parties, mais quand il est dans l'alignement, il joue toujours de la même façon. On dirait que ça voulait rentrer pour lui ce soir. Il a bien failli en marquer un troisième dans un filet désert. Ç'aurait été fabuleux. La rondelle a touché le poteau, a glissé sur la ligne des buts et a frappé l'autre poteau. Incroyable! Je n'avais jamais vu ça auparavant.
Néanmoins, ce trio composé de Maroon, Yanni Gourde et Cedric Paquette a été le plus dominant ce week-end, et particulièrement ce soir. Ils jouent du hockey simple, mais c'est difficile de défendre contre des gars qui tirent de partout et qui récupèrent toutes les rondelles dans la zone offensive. Ils ont vraiment fait du bon travail.