Face à face avec… Jack Gorniak

Comment a été ton deuxième Camp de perfectionnement?
JACK GORNIAK: Je crois que ça s'est bien déroulé. C'est plaisant de revenir ici et de retrouver les gars de l'année dernière et de rencontrer de nouveaux joueurs. C'est bien de patiner avec des joueurs de ce calibre et de vraiment apprendre à connaître le programme. Ce fut plaisant.

L'année dernière, tu t'es présenté au camp après ta dernière saison au lycée. Est-ce que tu trouves qu'il y a une différence, maintenant que tu as joué au niveau collégial?
JG: Oui, je crois que j'ai fait beaucoup de chemin, simplement par le fait d'avoir disputé ma première année au niveau collégial. Je pense que j'ai vraiment progressé. Ça m'a beaucoup aidé de travailler avec les entraîneurs de l'Université du Wisconsin. Ce fut un facteur important. Et j'ai aussi pris de l'expérience en jouant à un niveau plus élevé.

Est-ce que tu crois que tu as agi en quelque sorte à titre de leader avec les plus jeunes joueurs au camp?
JG: Oui, car j'étais dans la même situation qu'eux la saison dernière. Je commence également à connaître plus les gars avec qui j'étais ici l'année dernière. C'est une partie importante. C'est important d'apprendre à se connaître, que ce soit à l'hôtel ou lors des repas d'équipe.

Les réglementations de la NCAA vous interdisent de participer à d'autres camps avec les Canadiens (par exemple, le camp des recrues). Est-ce que cela change ton approche pour le Camp de perfectionnement?
JG: Non, je crois que c'est la même chose, c'est-à-dire de venir ici pour démontrer aux entraîneurs ce dont tu es capable. Je suis ici pour apprendre. C'est vraiment ce que je veux retenir. Je vais par la suite retourner à Madison pour travailler dans le but de me rendre au prochain niveau.

Tu auras un nouveau coéquipier au Wisconsin, Cole Caufield. Est-ce que vous vous connaissiez avant cela? C'est à seulement deux heures de voiture.
JG: Lorsqu'on était dans le hockey mineur, on jouait parfois contre parfois ensemble. C'est vraiment cool de l'avoir avec moi. C'est un de mes bons amis. Ça va être cool.

Avez-vous appris à vous connaître davantage désormais que vous êtes tous les deux des espoirs du Tricolore?
JG: On ne s'était pas vu depuis un bon moment puisqu'il était avec le Programme de développement national américain et je suis resté au lycée. Mais maintenant qu'il sera au Wisconsin avec moi, nous aurons la chance de rattraper le temps.

Est-ce qu'il t'a posé des questions ou demandé des conseils?
JG: Oui, il m'a posé beaucoup de questions, et j'étais heureux de lui fournir les informations. Je crois qu'il est vraiment dans la bonne direction. Je ne fais que répondre à ces questions. Je suis heureux de lui répondre.

Quel est le conseil que tu lui as donné?
JG: La chose la plus importante est de travailler fort chaque jour lorsque tu te présentes à l'aréna. C'est quelque chose que les entraîneurs recherchent beaucoup. Et ils veulent aussi des joueurs avec du caractère. C'est important d'avoir une bonne attitude et d'être gentil avec tout le personnel. C'est deux choses importantes.

Tu as mentionné le groupe d'entraîneurs. Comment est-ce de se faire diriger par Tony Granato?
JG: Coach Granato est incroyable. Il t'aide beaucoup sur la glace, mais aussi en dehors. Il est toujours là pour toi. Il a été génial.

Est-ce qu'il t'a aidé à te préparer pour le niveau de la LNH?
JG: J'ai beaucoup travaillé avec lui sur la glace, juste travailler sur mes habiletés. Et il m'a montré beaucoup de vidéos sur ce que je devais faire pour atteindre le prochain niveau.

Quels sont tes objectifs personnels pour la prochaine saison?
JG: Je veux avoir un impact sur la glace. Je vais continuer à travailler sur mon coup de patin, mon maniement de rondelle et mon tir. Je veux contrôler les matchs.