Si de la Rose est surtout reconnu comme un joueur de centre à caractère défensif depuis ses débuts professionnels, ça n'a pas toujours été le cas, a soutenu Julien.
«De la Rose s'est développé quand il était plus jeune en tant que joueur offensif. Lorsqu'il est arrivé dans les rangs professionnels chez lui, en Suède, ils l'ont surtout utilisé en tant que joueur défensif. On espère qu'il pourra redécouvrir son côté offensif un peu plus», a confié Julien.
Et Drouin peut en témoigner, de ce côté offensif.
«Je l'ai vu souvent parce que j'ai joué pas mal contre lui. Au Championnat mondial junior, au Championnat des moins de 18 ans, les tournois comme ça, a souligné Drouin, repêché la même année - en 2013 - que de la Rose.
«C'est un gros joueur, il joue très bien, il patine très bien. C'est un bon joueur de centre aussi, il va gagner ses mises au jeu. C'est un gros bonhomme, alors ça nous fait de la place. Je sais qu'il a du talent à l'attaque qu'on ne voit peut-être pas tout le temps.»
Quant à son retour à l'aile, Drouin n'y voit pas de problème.
«Il [Claude Julien] sait que je suis capable de jouer à l'aile, il sait que j'ai déjà joué à l'aile à Tampa. Ce n'est pas un problème», a-t-il conclu.