Afin qu'on le laisse sur la glace plutôt que de côté, l'ancien de l'Université du Minnesota sait qu'il ne peut jouer du hockey hésitant.
C'est quelque chose que l'entraîneur-adjoint Luke Richardson lui répète, ainsi qu'au reste du corps défensif, constamment.
« Le message des entraîneurs, à mon endroit et celui de plusieurs gars, c'est de tuer les jeux, d'aller rapidement sur les gars et de ne pas être hésitants. Je pense que c'est un conseil qui peut servir partout sur la glace », a expliqué Reilly, qui a récolté quatre mentions d'aide en 11 matchs cette saison. « Si tu es hésitant, tu ne déplaces probablement pas tes pieds immédiatement et tu ne refermes pas le jeu aussi rapidement que tu devrais. »
Pendant que Reilly se réjouit d'être de nouveau déployé par ses entraîneurs, Brendan Gallagher est particulièrement excité de jouer sur sa terre natale.
Il s'agira de son septième match en carrière au Rogers Arena, et de jouer devant ses proches le comble encore de joie.
« C'est toujours aussi génial. Tu arrives ici quelques jours avant, tu passes un peu de temps en famille et t'as l'occasion de voir quelques amis que tu ne vois pas souvent. Et t'as la chance de jouer devant eux », a dit Gallagher, un ancien des Giants de Vancouver (WHL) qui réside à Tsawwassen, en Colombie-Britannique, durant la saison morte. « Tu espères pouvoir quitter l'aréna avec un sourire sur le visage, sachant que tu les as rendus fiers. »